lenoil wrote:Bouloupere wrote:
diviser l'Etat unitaire en plusieurs entités lesquelles ne sont plus limitées, comme c'est le cas actuellement, uniquement en fonction de la langue utilisée par ses habitants
c'est déjà le cas actuellement, puisque les neuf communes germanophones font parties de la région wallonne
mais pourquoi créer des cantons alors qu'on pourrait se baser sur les provinces (+ la région de bruxelles-capitale qui n'a plus de province) existants actuellement et qui sont bien ancrées dans les mœurs ?
A te lire, je crois que je vais être obligé de t'envoyer mon "projet" in extenso

peux-tu me communiquer ton email par le biais d'un message personnel : je t'enverrai une copie du mail que j'ai fait parvenir à BDW via le maörat d'Anvers (Antwerpen)
Tu verras que
les cantons de l'Est actuellement insérés dans la région wallonne deviennent
le canton de l'Est et définissent eux-mêmes tous les éléments de leur politique indépendamment de ce qui se passe dans le canton voisin (qui effectivement est délimité d'une façon plus ou moins similaire à la région wallonne actuelle).
Je viens de lire un très bon article sur BDW dans "moustique" de la semaine du 31 mai au 6 juin 2014 (que j'ai trouvé dans la salle d'attente de la mutualité chrétienne du Brabant à Court-Saint-Etienne) :
Voici justement le volet qui fait grosse divergence (voir en page 18 de ce fascicule) :" Il m'a dit qu'il signerait à deux mains une certaine proposition de loi date de 1947", souffle Rik Van Cauwelaert.

Un texte rédigé par des penseurs... wallons préfigurant le confédéralisme auquel croit De Wever. On connaît la musique :
Bruxelles deviendrait une ville à statut spécial, où les habitants devraient choisir un régime linguistique pour pouvoir disposer des droits politiques fondamentaux et d'une protection sociale. Les deux grandes communautés assureraient la cogestion de Bruxelles.

En revanche, où je suis complètement sur la même longueur d'onde c'est lorsqu'il déclare d'une manière désabusée à l'occasion d'une de ses interviews récentes dans De Standaard : "
L'homme n'est pas bon en soi".